Je m’appelle Asher Lev

Dans le Brooklyn d’après-guerre, Asher Lev veut devenir peintre à tout prix, contre la volonté de sa famille, de sa communauté et de ses traditions.

Durée 1h25

Molière du comédien dans un second rôle
Guillaume Bouchède

Samedi 15 février 2025 à 20h30
Centre Culturel d’Uccle

Asher Lev dessine comme il respire.

L'histoire d'un jeune juif orthodoxe de Brooklyn, qui, aux portes du monde prodigieux de l’art, devra choisir : obéir aux exigences des siens et à son éducation religieuse, ou s’abandonner à son destin exceptionnel. Une pièce sur les affres de la création et les déchirements intimes, culturels et spirituels. Pour la première fois sur scène, l'adaptation française de la pièce à succès d'Aaron Posner tirée du roman de Chaïm Potok.

D’après la pièce d’Aaron Posner Adaptée de roman de Chaïm Potok, Adaptation française et mise en scène Hannah-Jazz Mertens Avec Guillaume Bouchède, Stéphanie Caillol et Martin Karmann ou Benoît Chauvin. Assistante mise en scène Jade Molinier Musique Anne-Sophie Versnaeyen Scénographie Capucine Grou-Radenez Lumières Bastien Gérard Costumes Bérengère Roland Une Production Théâtre des Béliers Parisiens

La Presse en parle

Une réflexion magistrale sur le sens de la famille, la transmission, l’identité et le sacerdoce de l’art. Le Journal du dimanche

Un moment de pur théâtre. D’abord captivant, puis bouleversant.
Le Figaro magazine

Inutile de vous faire un dessin, mais Hannah-Jazz Mertens en fait une belle pièce. Le Canard enchaîné

La superbe leçon de vie d’Asher Lev. Magistral, le roman de Chaïm Potok aborde le thème du génie artistique, des déchirements culturels, spirituels et intimes que cela entraîne bien souvent. Le travail de la jeune Hannah-Jazz Mertens est fantastique. Son adaptation retranscrit avec une belle justesse toute la sensibilité du roman. On ressent de l’empathie pour cette famille qui va se retrouver crucifiée au nom de la grandeur de l’art ! Sa mise en scène est des plus réussies. L'Œil d'Olivier

Cette pièce est tout simplement saisissante. Le Parisien