66 Jours

De et avec : Théo Askolovitch, Collaboration artistique : François Rollin & Ludmilla Dabo
Durée 1h20 - À partir de 14 ans

Photo © Vincent Pontet

Dans 33 jours, je serai guéri.
Et on sera champions
du monde.

Mercredi 10 avril 2024 à 20h30
Centre Culturel d’Uccle

Été 2018, c’est la Coupe du monde de football, Théo Askolovitch a 20 ans et apprend qu’il est atteint d’un cancer. Avec humour et générosité, ce seul en scène nous montre que les combats les plus intimes sont souvent les plus universels.

66 jours est l’histoire d’une traversée lumineuse et intime accompagnée d’une bande-son rap et de discours de Didier Deschamps. Le jeune homme nous raconte l’annonce du diagnostic, l’hôpital, les 66 jours de chimio et surtout sa rage de vivre. Son désir de vie, il le puise d’ailleurs dans les victoires de l’équipe de France de football et surtout auprès de sa famille. À travers ces épreuves, il trace son chemin jalonné de doutes, de démons et de joies. Sans jamais tomber dans le pathos et grâce à une drôlerie désarmante, le metteur en scène et comédien aborde les rapports parfois complexes à la famille et l’angoisse universelle de la mort. Le spectateur oscille entre larmes et rires, entre l’histoire de Théo Askolovitch et les échos avec sa propre histoire.

De et avec Théo Askolovitch Collaboration artistitique François Rollin & Ludmilla Dabo

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La Presse en parle

Théo Askolovitch signe un texte bluffant de sincérité, d’humour, et d’espoir, qui nous transporte et dont l’incarnation donne la rage de vivre. Une ode puissante à la famille (la sienne, dont il est très proche) et à l’espoir malgré la maladie, dont il ne nous épargne aucun détail. « J’ai voulu raconter mon histoire sans tricher mais en prenant du recul et avec le sourire, pour trouver de la poésie dans tout ça. » Face à la peur de la mort, le jeune homme se raccroche à la vie comme à la victoire de l’équipe de France durant la Coupe du monde de football 2018 qu’il suit en parallèle. Et on rit profondément autant que l’on est ému, devant cette victoire universelle mais surtout sienne, celle d’un grand artiste, comédien et auteur en devenir.
TÉLÉRAMA TTT

On rit beaucoup tout au long du spectacle, mais sans qu’il fasse jamais l’impasse sur les difficultés, les peurs, la présence constante d’un réseau familial dense, qui ne lâche jamais la bride pour le soutenir.
LES INROCKUPTIBLES

On se surprend à rire beaucoup de cette histoire qui n’a pourtant rien de marrant. Théo Askolovitch ne se prend jamais au sérieux. C’est d’ailleurs certainement ce qui l’a sauvé.
VANITY FAIR

Un choc ! Un instant tellurique, inoubliable, courageux, bluffant et totalement bouleversant ! Drôle aussi, sensible et d’une finesse qui n’a d’égale que la beauté́ du texte, son esprit de résilience, son empathie, son amour de l’existence comme du prochain. Formidable, sidérant, et en tout points admirable de justesse et d’inventivité, d’humour, de poésie et de réalisme, les mots viennent à manquer pour décrire ce que l’on ressent à la sortie.
LA PROVENCE